Voyage géologique dans les républiques de Guatémala et de Salvador

Voyage géologique dans les républiques de Guatémala et de Salvador
Destination
Forme
À propos
Itinéraire
La Union (exc. ds les environs) - Los Almendros - San Miguel (exc. au volcan) - Moncagua - Chinameca - Umaña - Rio Lempa - San Vicente (exc. ds les environs) - ravin du rio de Jiboa - Cojutepeque - lac d'Hopango - San Martin - vallée de Cuscatlan - San Salvador - Santa Técla - le long du Callejon del Guarumal - rancheria d'Ateos - Guaimoco - Izalco (exc. au rancho del volcan) - Sonsonate (exc. ds les environs et à Naholingo) - Apaneca - Ahuachapam - Rio Paz - Jalpatagua - hameau de l'Oratorio - Los Esclavos - Cerro Redondo - Guatemala - Antigua Guatemala (exc. aux volcans de Fuego et de Agua) - col de Santa Maria - Amatitlan - Pacaya (exc. au volcan) - Escuintla (exc. ds les environs et à la cascade de Michatoya) - Guatemala - Chinautla - Rio de los Platanos - côte de la Quesada - Le Carrizal - San Bernardino - San Buenaventura - Rio Grande - Salama - San Geronimo - Santa Rosa - Tactic - Rio de Cajabon - Santa Cruz - grotte de San Agustin de Lanquin - point de las Cruces - Coban - San Cristobal - ravin du Rio Chisoy - Chicaman - San Miguel Uspantan - Cunen - Nebak - Sacapulas - Santa Cruz del Quiché - Totonikapam - Quezaltenango (exc. à Almolonga et au volcan de Cerro Quemado) - sommet de la Cordillère - Tecpan - Guatemala - Solola - lac d'Atitlan - Atitlan - San Pedro - Santa Catarina Ixtlahuacan - San Antonio - Panajachel - San Lucas - hacienda de San Agustin - volcan d'Atitlan - San Agustin - Patsum - Pasesilla - Chimaltenango - La Antigua - Mixco - Guatemala
Date
à partir du 31 mars 1866, sans date de fin
Type
voyage géologique d'environ huit mois fait en bateau, à cheval, sur le dos de mulet et à pied
Esthétique
«Après avoir consacré plus de dix-huit mois à parcourir dans divers sens les régions centrales du Mexique, voyant les difficultés s'augmenter à mesure que nous tendions à nous écarter de la métropole, la situation générale du pays nous offrir de moins en moins la sécurité et les ressources indispensables, nous nous décidâmes à profiter de la latitude qui nous était laissée, pour aller demander à l'Amérique centrale un nouveau champ d'études et de travaux. Une seule crainte nous accompagnait dans ce voyage: c'était, après environ deux années déjà écoulées depuis notre départ d'Europe, de ne pouvoir consacrer aux pays que nous nous proposions de parcourir autant de temps que semblaient devoir en réclamer leurs grandes chaînes de montagnes, leurs profondes vallées, leurs vastes solitudes et leurs mystérieux volcans. En effet, après huit mois à peine d'excursions et de travaux, nous fûmes obligés par les événements de quitter Guatemala et de nous arracher à des études dont le début pouvait nous faire regretter l'interruption. L'Amérique centrale offrait à notre activité et à notre désir d'apprendre un champ moins vaste peut-être, mais à coup sûr moins exploré, et, jusqu'à un certain point, plus intéressant. L'attrait de l'inconnu, l'inappréciable avantage de pouvoir acquérir quelques notions générales sur un pays [...], tout était fait pour nous inspirer un vif désir d'employer activement et utilement l'année [...]. Aussi bien avions-nous déjà pu nous faire quelque idée des méthodes scientifiques à employer et des moyens à mettre en œuvre dans une région dont nous devions être, à peu de chose près, les premiers explorateurs au point de vue spécial des recherches géologiques»(I-II).
Références bibliographiques
Lieu
Paris
Année
1868
Editeur
Impr. impériale
Nombre d'exemplaires
IX-539 p.
Format
in-fol.
Annexes
pl.