Flaubert a longtemps rêvé d’Orient, comme toute la génération romantique qui l’a précédé de peu, et dont il n’aura cessé de se distancier dans son œuvre littéraire. Pour des raisons différentes, Flaubert refuse d’écrire un récit de voyages de son séjour en Orient. Mais sa correspondance privée, non publiée du vivant de l’auteur, permet d’ébaucher son expérience viatique. Dans cette intervention sont examinées, à partir de ce corpus, autant les aventures d’un voyageur que la posture réflexive d’un épistolier en voyage.
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